coupure de presse de jl clarr

J'adorais la Giraglia parce que c'était une des toutes premières épreuves de la saison et qu'on l'abordait gonflés à bloc après la trêve hivernale
Ensuite elle était moins astreignante à reconnaître et à gérer que le Tour de Corse
Nous connaissions le parcours par coeur et y conduisions partout à la limite comme à la Ronde Cévenole.
La descente du col vers le pont de Luri était un morceau d'anthologie qui compensait largement Macinaggio Ersa qui favorisait les autos puissantes
L'ambiance et l'environnement contibuaient aussi à son succès, à Macinaggio et Centuri on avait un peu l'impression d'être en vacances donc on abordait cette épreuve avec beaucoup moins de stress que le monument qu'était le Tour de Corse
Un de mes rituels était de déguster une langouste fraîchement pêchée sur le port de Centuri
Personnellement je n'adoptais pas de différences fondamentales au niveau du pilotage entre les 2 épreuves
J'attaquais autant sur le Tour que sur la Giraglia même si ma connaissance des épreuves étaient forcément plus limitée sur l'ensemble du Tour
Je confirme que pour la majorité des pilotes continentaux la Giraglia avait meilleur presse que le Tour jugé trop long et trop difficile à préparer et donc faisant la part belle aux pilotes insulaires alors qu'au départ de Macinaggio ils pensaient pouvoir partir à armes égales avec eux
En résumé cette épeuve était une de mes favorites du calendrier

olive 20 a écrit:

J'adorais la Giraglia parce que c'était une des toutes premières épreuves de la saison et qu'on l'abordait gonflés à bloc après la trêve hivernale
Ensuite elle était moins astreignante à reconnaître et à gérer que le Tour de Corse
Nous connaissions le parcours par coeur et y conduisions partout à la limite comme à la Ronde Cévenole.
La descente du col vers le pont de Luri était un morceau d'anthologie qui compensait largement Macinaggio Ersa qui favorisait les autos puissantes
L'ambiance et l'environnement contibuaient aussi à son succès, à Macinaggio et Centuri on avait un peu l'impression d'être en vacances donc on abordait cette épreuve avec beaucoup moins de stress que le monument qu'était le Tour de Corse
Un de mes rituels était de déguster une langouste fraîchement pêchée sur le port de Centuri
Personnellement je n'adoptais pas de différences fondamentales au niveau du pilotage entre les 2 épreuves
J'attaquais autant sur le Tour que sur la Giraglia même si ma connaissance des épreuves étaient forcément plus limitée sur l'ensemble du Tour
Je confirme que pour la majorité des pilotes continentaux la Giraglia avait meilleur presse que le Tour jugé trop long et trop difficile à préparer et donc faisant la part belle aux pilotes insulaires alors qu'au départ de Macinaggio ils pensaient pouvoir partir à armes égales avec eux
En résumé cette épeuve était une de mes favorites du calendrier

voila qui est dit !

On ne peut évoquer la ronde de la Giraglia sans parler de Jean-Pierre MANZAGOL. Outre ses nombreuses victoires dans cette épreuve, on retiendra la magnifique performance qu'il réalisa au cours de l'édition 1977. En effet, au volant de son Alpine 1800, il devançait à la régulière Guy FREQUELIN sur Alpine A 310 V6 et Bernard DARNICHE sur sa célèbre Stratos, tous deux pointures de l'époque. Une regrettable crevaison interrompit la prestation de "Manza" qui termina sur la dernière marche du poduim. Jean Louis CLARR, impérial en Groupe 1, termina 6ème, me semble-t-il.